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feeding time ; Scathach Nebiros

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» Cassidy Fawkes
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Cassidy Fawkes
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MessageSujet: feeding time ; Scathach Nebiros feeding time ; Scathach Nebiros EmptyJeu 2 Juil - 5:23

» ft. Scathach Nebiros

Tu n'étais qu'immondice informe, un déchet qui se dissimulait dans les ombres d'une grande dame sous les traits d'une parfaite jeune femme à la jeune apparence. Mais même cela, tu le volais. Tu volais telle une infâme sorcière la vie qui subsistait dans les hommes pour te l'accaparer. Voleuse tu étais, toi qui allait t'emparer des corps sans t'en préoccuper des moindres. Tu n'étais qu'un être vorace, affamé et insatiable qui jamais ne serait satisfait. Toujours à la recherche de succulents mets, tu te fourvoyais dans ce cercle vicieux du cannibalisme. Toi, tâche qui corrompait la pureté de ta peau blanche albâtre de gouttes de sang. Les commissures de tes lèvres laissaient s'échapper un filet rouge ignoble, rendant compte de ce que tu étais. Ta nature était laide, tu étais ignoble. Même ce corps parfait sculpté dans le marbre, taillé avec des courbes voluptueuses n'arrivait pas à cacher ta véritable identité. Car tu étais moche, Cassidy, tu n'étais qu'une pourriture qui se nourrissait de la misère des autres pour étancher ta propre soif de te sentir en vie.
Marionnette, poupée, quoi que tu étais, ce qui t'animait n'était ni ton âme ni l'humanité, ce n'était que l'instinct le plus bestial, le plus bas qui pouvait exister. Batarde, le roi doit s'arracher les yeux pour avoir engendré une enfant telle que toi. La malédiction marque tes traits. Tes yeux ne reflètent que les profondeurs sévissant aux enfers, bien plus noirs que les ténèbres elles-mêmes ne peuvent l'être. Et ces pupilles rouges dont tu es si fière, elles ne sont que le monde en feu dans laquelle tu te jettes corps et âme, arrachant aux hommes ce qu'il leur reste de fierté avant de les bouffer.

La faible lueur de la ruelle illuminait ton visage d'une auréole, laissant juste tes deux yeux briller dans le noir. Quiconque se promènerait ici bas ne s'y tromperait pas : des yeux possédés par un démon. Car c'est ce que tu étais : te dressant au dessus du corps courbé d'une pauvre femme, tu dévorais sa chair avec sauvagerie. Tu n'étais que brutalité tandis que son cœur se retrouvait entre tes dents. Tes cheveux te retombaient devant le visage, ta capuche glissant sous la brutalité de tes gestes. Même ton sourire était à l'image de ce portrait de bestialité. Sur tes lèvres roses se dessinait un vilain rictus mauvais, représentatif de tout le plaisir que l'acte te procurait.
S'échappant de ta bouche, un ricanement se perd dans le silence environnant. Personne ne prendrait le risque de s'aventurer ici bas, n'est-ce pas ? Les quartiers pauvres sont vides et déserts, et même si quelqu'un s'approchait, n'en serais-tu pas heureuse ? Un autre en-cas se présenterait à tes pieds. Tu t'y jetterais, sans faire de manière, pour lui arracher de son corps tous ses organes. Ce que tu trouves délicieux n'est que répugnant. Ce qui fait vibrer ton âme retourne l'estomac jusqu'à faire vomir. Tu n'es qu'une donnée erronée, ma chère. Peut-être que ton statut fait de toi une princesse, peut-être es-tu même traitée de la sorte par tes pairs, mais ceux qui arrivent à voir en toi le savent : tu n'es rien, et ne le seras jamais.

Même ta beauté est vide et transparente. L'aura qui t'entoure n'est que noirceur. Tu ne brilles pas, tu te fonds dans les ombres. C'est ici que tu te dissimules, dans les bas quartiers de la ville, là où les miséreux, les pauvres et les personnes insignifiantes se terrent. Tu es fade, insipide. Tu n'es qu'un être creux tiraillé par le diable, sans espoir qu'un seul jour tu ne puisses sentir la brise fraîche de la liberté sur ton visage. Tu es prisonnière de ce monde, prisonnière de la vie, mais surtout tu n'es qu'une détenue qui accepte son sort et se résigne au désespoir. La voie que tu arpentes est tachée de sang, tu te noies dans le carnage sans songer à jamais sortir des sentiers.
Ivre par les sentiments que te procurent le fait d'être malsaine, tu le restes volontiers car le fruit défendu que tu as goûté est comme une douce drogue qui a contaminé tous tes tissus nerveux. Tu t'es éprises de cette douleur, tu chéris la souffrance comme d'autres l'amour et le bonheur. Sale engeance contre nature, c'est ce que tu es. Tu brises la nuit paisible, le silence qui règne dans l'obscurité de tes bruits de mastication. Déchiqueter est devenu pour toi un automatisme. Tu es une simple machine qui est devenu des parfaits rouages bien alignés et conformes. Tu laisses tes pouvoirs prendre le dessus sur l'humain. Tes yeux et ta vision t'ont rendu amère et aigre. Même ce que tu vois n'arrive plus à t'arracher le moindre pincement au cœur. Tes migraines s'accumulent volontiers, tu les accueilles presque à bras ouvert, elles sont désormais devenues presque réconfortantes. La folie qui sommeille en toi, réveillée par ta faim, est irriguée par un cœur qui ne cherche qu'à se réchauffer. Tu n'es rien. Tu es dans une rue quelconque, près des égouts, murée dans ta solitude avec pour amie juste la folie, le sang sur les mains, des organes sortant de ta bouche. A te nourrir de cadavres.

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MessageSujet: Re: feeding time ; Scathach Nebiros feeding time ; Scathach Nebiros EmptyJeu 2 Juil - 16:20



Aujourd'hui, tu sors de chez toi. Ce soir comme toute les semaines, tu vas rejoindre les marqués et les rafistoler. Tu n'arrives à rien, et ça t'énerve. Pas la moindre piste, pas le moindre organe, pas le moindre indice. Les pouvoirs sont des bribes de brouillard que tu n'arrives pas à saisir? Et pourtant tu t'obstines, tu ouvres, découpes et recouds des pauvres âmes sans but. Tu te prends pour Frankestein, mais le seul monstre ici, c'est toi. Ta vanité et ton orgueil te poussent à continuer dans cette voie malsaine, la curiosité s'accrochant à toi et l'envie de réussir te poussant.

Mais tu sais que ce n'est pas le pire dans tout ça. Le pire c'est que tu en as tué plusieurs et que ça ne te fait rien. Deux ou trois cadavres sont semés ici et là mais tu ne les considère que comme les marches d'un escalier te menant à la réussite. Pourtant, quand tu opère à la clinique, tu fais attention. Attention à ne pas entacher ta réputation. Tu ne le fait pas pour sauver des vies, mais pour ton plaisir personnel. Ces chirurgiens qui t'adulent car tu opère seul, ces familles qui te remercient, ces vies que tu sauvent. C'est pour toi que tu le fais, chirurgien égoïste aux visages multiples. Tu es Scathach Nebiros, Raphaël Ose, Dorian Hyde, Victor Moriarty ou Phileas Lecter.

Et ce soir, ce sont les trois compères de l'entrepôt qui marchent dans les rues, vous les trois chirurgiens mystérieux terrés sous des capes. Ce sont vous qui vous dirigez vers l'entrepôt. Mais dans la nuit, vous entendez un bruit. Tu pars de ton côté, laissant le reste de ta personne de l'autre côté. C'est un bruit indescriptible qui parvient à tes oreilles. Mais à quelques pas de la source du bruit, cela devient clair pour toi. ce que tu entends, c'est quelqu'un qui mange. Dans la rue. La nuit. Tu en croise souvent des gens comme ça, des gens étranges. Sauf que là c'est plus compliqué. Ce n'est pas la personne bizarre de tout les jours, qui se balade sur les mains, qui parle toute seul, qui te hèle dans la rue en t'appelant par un prénom qui n'est pas le tien.

Tu vois le danger, tu l'appréhendes, tu comprends. un dose de morphine part dans tes veines pour te calmer alors que tes yeux se posent sur la scène. Entre les pavés, un mince filet de sang reflétant les petites lumières éclairant pauvrement la rue. Au milieu de celle-ci, deux corps. Il te faut peu de temps pour comprendre ce qu'il se passe. Et encore moins pour savoir qui est en train de se faire manger. Mike Holson. Le marqué que tu devais opérer aujourd'hui. Enfin, opérer, tu sais très bien que tu allais l'ouvrir, l'inspecter et ne rien trouver. Il serait peut-être mort cette nuit de toute façon et aurait fini dans ton frigo pour que tu puisse mener d'autres expériences sur le corps humain. D'ailleurs, ce même réfrigérateur est plein à craquer d'organes et de cadavres.

La seule chose qui te dérange vraiment dans la situation présente, c'est la victime. Que quelqu'un devienne cannibale ne te dérange pas outre mesure, tu as déjà pensé à manger ta propre personne. Mais si quelqu'un trouve le cadavre de la personne dont tu devais t'occuper ce soir, on pensera que c'est toi. Et les marqués ne voudront plus se faire opérer. Et les gens te regarderont mal, tu auras sûrement des problèmes avec les autorités. Alors que faire? Te rassembler. Vous êtes tous là maintenant, et deux de vous disparaissent, te laissant seul. Tu inspire puis expire tranquillement alors que la personne devant toi continue son festin. Tu ne vois pas son visage, mais c'est une femme. D'après ce que tu peux voir, elle est sûrement plus grande que la moyenne, avec un corps plus qu'honorable. Tu la dissèque en silence, tirant des informations de ce que tu vois. Ce ne sont pas des vêtements que porteraient quelqu'un de ce quartier, sûrement un femme du quartier nord. Tu comprends qu'elle à sûrement échappé à une surveillance, à l'enceinte d'un manoir ou d'autres obstacles et tu déduis qu'elle est sûrement en bonne forme physique. Elle est venue à pied, la semelle de ses chaussures sont usées.

C'est donc avec ce peu d'informations que ton cerveau monte un plan, ta témérité améliorée par la dose de morphine que tu viens de t'administrer. Tu es calme, sans inquiétude, tout va bien. Tu marche vers elle, tu n'attends pas qu'elle te remarque et tu t'assois. Tu retire ton masque, ta capuche et tu diriges tes prunelles rouges sang sur elle. Et tu comprends en un dixième de seconde. Ces yeux, tu sais à qui ils appartiennent et un nouveau plan sort des tréfonds de ton cerveau embrumé.

"-Je vois que vous avez l'air de vous régaler, mais j'ai besoin de le corps de cet homme. seriez-vous assez aimable pour me le laisser, ou du moins ce qu'il en reste?"

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» Cassidy Fawkes
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MessageSujet: Re: feeding time ; Scathach Nebiros feeding time ; Scathach Nebiros EmptyJeu 2 Juil - 18:50

» ft. Scathach Nebiros

Tes pensées sont anarchiques. C'est cet appel doux et sauvage, ce moment précieux où rien d'autre que tes gestes occupent ton esprit. Tes yeux sont aveugles, ta vision ne voit plus que ce liquide rouge qui ne cesse de couler. Ton esprit est fermé aux calculs, aux sombres combinaisons, aux machinations de la haute société. Pour un moment, tu es en paix. C'est le prix à payer pour ta jeunesse éternelle, c'est ce fardeau à la fois fléau qui te ronge non seulement ta raison mais toute ton identité. Tu te déchaînes, toi bête sauvage conduite par tes instincts. Tu te repais de la chair comme l'enfant de sucreries. Tu jubiles de ce carnage que tu orchestres en maître.
Tu n'es plus toi, mais tu as l'impression d'être réelle. Ainsi tu n'as plus d'attaches, plus d'appartenances, tu n'es qu'une âme égarée comme une autre. Dans cet entrepôt abandonné, nulle âme erre. Ton statut, ton rang, ici tout ça n'a plus d'importance. Tu n'es qu'une ombre se fendant dans l’obscurité. Tout est si paisible et silencieux, du moins c'est ce que tu crois.

Des bruits de pas t'interrompent dans ton repas, mais que diable ? Tu continues ton festin, tandis que la vigueur s'empare de tes veines et que tes muscles fébriles se réveillent doucement. Tu es d'humeur à combattre, tu es même de très bonne humeur ma chérie. Tu rêves de fendre un crâne sous tes poings, de rouer de coups ton adversaire jusqu'à ce que mort suive. Tu ne serais pas contre une petite séance de torture, d'ailleurs. Depuis combien de temps n'as-tu pas entendu des hurlements suaves te supplier d'en finir ? Tu sens la présence réconfortante de tes deux dagues, qui attendent sagement attachées à tes cuisses. Tout comme tu ressens son regard posé sur ta personne.
Tu es l'experte à analyser, ta vision t'accorde la souveraineté suprême. Lorsque tes deux excavations sombres à la sclérotique noire se posent sur le nouvel arrivant, tu lis la contrariété. Mais celle-ci ne se dirige pas envers toi Cass, tu l'as senti. Tu sens que c'est cet individu que tu es en train de bouffer qui le gêne. Mais tu ne t'en préoccupes pas, n'est-ce pas lui qui vient s'inviter à tes côtés ? Même lorsqu'il s’assoit à tes côtés tu ne bronches pas, ce n'est qu'en relevant tes yeux que tes pupilles rouges se perdent dans des iris de la même couleur que les tiens. Alors un sourire se fend sur tes lèvres retroussés en un méchant rictus. Tu n'essuies même pas le sang qui a éclaboussé ton visage, ni celui qui perle sur tes lèvres. Tu attends, et la réponse ne tarde pas à arriver.

_ Je vois que vous avez l'air de vous régaler, mais j'ai besoin de le corps de cet homme. seriez-vous assez aimable pour me le laisser, ou du moins ce qu'il en reste?

Si quoique ce soit aurait été en mesure de te surprendre, tu aurais affiché probablement des yeux béats. A la place, ton regard froid était toujours dardé dans ses yeux. Tu sais qu'il ta reconnu. En même temps, tu n'as pas pris toutes tes précautions. Une erreur. Mais tu t'en moques pas mal. Qui croirait la parole de ce type contre la tienne, toi le Général de l'armée du roi ? Pour l'instant, tu ne lis aucune mauvaise attention par rapport à ce sujet, bien que ça ne t'effleure déjà plus l'esprit. Alors tu laisses ton rire s'échapper de ta gorge. Un rire cristallin qui aurait pu semblé innocent si tu ne tenais pas dans ta main le reste d'un organe avec la trace de tes dents.
Tu jauges du regard ce qu'il reste du cadavre. La peau de son ventre avait été arraché, il lui manquait un bras et son visage était méconnaissable. Fermant les yeux, tu sens les bénéfices de ton pouvoir parcourir ton corps. Alors tu reposes sur lui un regard amusé, un sourire éclatant illuminant ton visage.

_ Très bien.

Tu finis quand même ce qu'il reste du morceau que tu tiens. Puis, tu te lèches doucement les lèvres, savourant une dernière fois le goût métallique du sang que tu adules presque maintenant. Tu es bien plus qu'en forme désormais. Et le temps semble presque se déliter. Depuis combien de temps n'as-tu pas profité d'un véritable sommeil... Tu l'ignores. Tu as arrêté de compter. Alors tu t'empares de ton paquet de marlboro qui traîne dans ta poche, puis tu saisis deux cigarettes dont une que tu offres à cet homme sans te préoccuper de savoir si il fume. Après l'avoir allumée avec ton zippo, tu lui tends ce dernier. Et finalement tu lâches ce que tu penses de cet individu.

_ Tu me plais bien.


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MessageSujet: Re: feeding time ; Scathach Nebiros feeding time ; Scathach Nebiros EmptyJeu 2 Juil - 19:37



Elle te regarde, et tu la regarde. Elle a encore faim et tu le vois tout de suite. Si elle compte te sauter dessus, tu lui laissera ce corps et tu partira d'un autre côté. Après tout, tu n'es qu'un Scathach parmi d'autres. Mais tu compris à son rire qu'elle ne comptait pas te dévorer. Du moins pas maintenant, mais ça ne te fait rien. Si elle veut te dévorer, soit tu ne l'en empêchera pas si ça la calme. Elle finit son morceau et se lève, te laissant le reste du corps. 

Tu es surtout attristé par le cadavre devant toi, et tu te dis qu'elle aurait pu au moins lui faire honneur en mangeant tranquillement, ou en le cuisinant. Des épices, un peu de cuisson, un morceau bien coupé et au revoir la barbarie. Tu te juges que barbarie ne va pas forcément de paire avec cannibalisme et qu'avec un couteau et une fourchette, ce serait tout de même mieux. Tu as presque envie de lui faire la remarque mais tu ne sais pas si elle est assez stable pour accuser le coup, alors tu reste dans ton mutisme, regardant simplement son visage encore tâché du sang de sa victime. Et tu te dis que les pavés seront sûrement tâché, ce qui ne fait que renforcer ton idée qu'il aurait mieux fait de le tuer proprement. 

Elle lui tends une cigarette que tu regarde d'un air dédaigneux. Mais la morphine dans tes veines t'épargnera la douleur et peu de chance que tu attrape un cancer car ton esprit pourrait partir dans un autre vaisseau de chair et de sang. Alors tu la prends et tu la pose au coin de ta bouche. Lorsqu'elle te tends son briquet, tu le prends aussi et effleure sa main, te rendant compte qu'elle était assez froide. Tu te dis qu'il faudrait mieux de décamper d'ici avant que quelqu'un arrive et ne vous voie. Et tu ajoute à ça qu'un endroit abrité serait mieux lorsque tu sens les gouttes de pluie sur ton visage. Tu prends une bouffée et tu sens la fumée emplir tes frêles poumons, ça te pique un peu, mais ça ne te dérange pas. Les organes hérités de ton père s'agite un peu, mais rien ne prends feu. Tu les sens s'agiter dans ta gorge, et tu n'as pas l'habitude. 

Elle te dit que tu lui plait et tu lui retournerai le compliment si tu ne devais pas t'occuper d'un cadavre, mais tu fouille dans ta poche et lui tends un mouchoir blanc pour qu'elle essuie sa joue pleine de sang qui commençait à se mêler à la pluie. "Tu ferais mieux d'essuyer ce sang." C'est ce que tu lui dis alors qu'elle prend le mouchoir. Tu souris en essayant de cacher tes crocs pour ne pas trahir ta vraie nature. Pourquoi la cacher à une cannibale de la famille royale que tu as croisée dans une ruelle la nuit? Tu ne le sais pas, peut-être trop de précautions. Tu te baisse et tu ramasse ce qui reste du corps en faisant une petite pile. Tu sors un autre mouchoir que tu noue autour de la jugulaire pour éviter d'être aspergé et tu enlèves ta cape pour envelopper ce qui reste de la viande. En résulte un paquet difforme que tu porte à la manière d'un sac.

"-Ecoutez, j'aimerai bien discuter avec vous, mais la pluie et la froideur de votre corps me laisse penser qu'il serait mieux de se mettre à l'abri. Si ça ne vous dérange pas de me suivre."

Tu lui sourit mais oublie de cacher tes crocs et tu te rends compte que tu as plus l'air d'un prédateur que quelqu'un de sain, mais après tout, tu fais face à une cannibale. Tu te diriges vers ta maison, le cadavre au bout du bras jusqu'à arriver devant chez toi. tu ouvre la porte et entre, la laissant ouverte derrière toi si la membre de la famille royale à daigner te suivre, ce dont tu doute beaucoup. Si elle t'a suivi, tu ne sais pas ce que tu fera, mais tu commence aussi à avoir faim.
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MessageSujet: Re: feeding time ; Scathach Nebiros feeding time ; Scathach Nebiros EmptySam 4 Juil - 16:38

» ft. Scathach Nebiros

Tu n'es pas rassasiée, mais tu tais ta faim qui te tirailles l'estomac. Cela doit faire plusieurs jours que tu n'as pas eu de repas et cet homme t'a arraché à ton festin. La fatigue a déserté tes traits, mais tu sais que cela ne durera qu'un court moment et que d'ici demain, le poids de ton existence misérable affaissera faiblement tes épaules. Tu essaies d'ignorer ce fait, tu laisses la nicotine monter doucement à ton cerveau tandis que tu savoures le goût de ta cigarette. Tes poumons s'emplissent de cette fumée blanchâtre que tu as appris à aimer, dont tu ne peux finalement plus te passer. Une mauvaise habitude, diraient certains, une mauvaise habitude qui a tendance à ruiner la santé, mais tu n'as aucun souci à te faire puisque tu sais qu'aucuns dommages ne te seront fait. Alors tu aurais envie de t'en griller une autre, seulement la pluie a commencé à tomber dessus.
De petites gouttes, pour commencer. Puis progressivement, la cadence de la pluie s'élève. Lorsque tu lèves ton visage vers le ciel, tu t'aperçois que la lumière de la lune a disparu, laissant les ténèbres souveraines en cette nuit totalement noire. Tandis que celui qui t'accompagne te tend un mouchoir pour t'essuyer, tu l'attrapes machinalement. Tu essuies le sang sur tes joues, tu essuies tes lèvres roses. Lorsqu'il ne reste aucune trace de sang sur toi, tu t'empares de ton zippo pour mettre feu au mouchoir. Et sans un regard, tu le laisses se consumer dans un coin pour qu'il devienne cendres. Tes mauvaises habitudes de couvrir tes traces sont trop profondément ancrées en toi. Tout comme tes bas instincts que tu essaies tant bien que mal de réprimer.

Alors tu te lèves, tandis que ton regard croise celui de l'homme. C'est presque indescriptible, mais tu sens qu'il n'est pas plus honnête que tous les autres. Pendant presque un moment, tu aurais pourtant cru à l'inverse. Mais que veux-tu, Cassidy, ce monde est fait d'hypocrisie. Ce n'est pas comme si tu avais de l'espoir de toute façon, car nulle espérance ne peut sévir en toi. Tu l'as appris il y a bien longtemps, la dure et cruelle vérité de ce monde. Alors qu'un semi-rictus s'empare tes lèvres, tu t'étires doucement tel un chat qui aurait dormi pour un peu trop longtemps.

_ Écoutez, j'aimerais bien discuter avec vous, mais la pluie et la froideur de votre corps me laisse penser qu'il serait mieux de se mettre à l'abri. Si ça ne vous dérange pas de me suivre.

Cette remarque t'arrache un petit rire. Ton corps a toujours été froid. Nulle chaleur ne peut émaner d'un monstre tel que toi, car tu as oublié il y a fort longtemps ce qu'être humain signifie. Mais à la place de perdre ton temps en explication, tu demeures silencieuse. Tu n'es pas la plus loquace des personnes, tout comme tu n'es pas sociale. Tu apprécies le silence.
Et tandis qu'il sourit, tu remarques ses crocs, ce qui semble le faire réfléchir. Et pendant que ses pensées sont occupées, tu lis son hésitation, qui est finalement réfutée. Étrange, tu es toujours entourée de bâtards. Un sang-mêlé, huh ? Tandis que tu considères son invitation rapidement, tu finis par le suivre. Si jamais les choses finissent mal, tu peux toujours compter sur tes pouvoirs. Tu suis cet homme, dont tu ignores toujours le nom, jusqu'à sa demeure. La vue du colis qu'il porte comme un sac te donnerait presque envie de rire. Les restes du cadavre bercés par la cadence rythmée des pas. Tout ça te rappelle que tu as faim. Alors, durant le chemin qu'il te reste, tu t'allumes une dernière cigarette.
Et finalement, tu finis par te tenir devant chez ce qui semble être sa maison. La porte est ouverte, en signe d'invitation. Alors, tu finis par jeter le mégot dans les égouts. Et tu pénètres en un lieu inconnu, ton visage toujours aussi impassible qu'à l’accoutumée.

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MessageSujet: Re: feeding time ; Scathach Nebiros feeding time ; Scathach Nebiros EmptySam 4 Juil - 21:44



Tu es surpris quand elle rentre derrière toi. Ton cerveau te liste tes devoirs d'hôte, entrecoupé de pulsions plus ou moins avouables. Tu te mentirai si tu te disais que tu ne la voulait pas. Tu pourrais facilement prendre l'avantage sur elle ici, et l'amener sur la table d'opération par la suite. Tu veux son corps, tu veux en connaître chaque recoin, tu le veux maintenant et ici. et tu as du mal à te contenir de ne pas lui sauter dessus. Tu veux connaitre l'odeur de ses cheveux, le moindre détail de ses iris, chaque tréssaillement de sa voix, chaque centimètre de sa peau et plus encore. En quelques secondes, cela devient plus une obsession qu'un désir et ton esprit tourmenté vagabonde. Mais dans ton errance erratique, tu t'heurtes à un mur. Tu ferais un bien piètre hôte si tu attaquais ton invité comme ceci. Et tu reviens doucement à ton calme habituel que tu n'avais abandonné qu'une seconde. 

Mais pour l'instant, tu dois t'occuper de la masse de chair humaine qui pends au bout de ton bras droit. Finalement cette masse inerte est devenu un problème dans la situation présente.  Tu t'excuse, et tui lui ouvre la porte de la salle, lui demandant de te pardonner car tu vas t'éclipser quelques secondes. Tu marches jusque dans ta chambre et tu te dédouble, laissant une partie de toi aller au sous-sol pour déposer les restes de Mike ainsi que vider ce qui restait dans le peu de vêtements qui lui restait. Une autre partie le suivra au sous-sol pour écumer tout ce que tu peux trouver sur ton invité. Et enfin, la dernière partie ira lui tenir la conversation dans la chambre. Tu quitte la pièce pour aller dans lorsque ton encéphale trop lent finit par te donner une partie de réponse. Tu ne t'en souvenais plus jusqu'ici mais la nature du pouvoir lié aux yeux de ton invité te revient à l'esprit. Si tu essayais de ton mieux pour la disséquer mentalement, elle t'a sûrement déjà catalogué pièce par pièce et rangé dans un tiroir parmi tant d'autres. Et tu fais appel à tes trois cerveaux pour trouver un plan d'attaque pour garder de l'avance dans cette lutte mentale à sens unique que tu t'es monté seul.

Et finalement, juste avant de poser le pied dans le salon, tu te dis qu'être outrageusement honnête serait la seule manière de se sortir de là en bon terme et sans problème. Le détecteur de mensonge devant toi est un prédateur du même niveau que toi et tu te dois de lui faire honneur. Rentrant dans la salle, tu reprends ton apparence d'hôte qui sied à cette partie de toi et tu sors plusieurs bouteilles, de la boisson alcoolisée à un simple jus de fruit, ne connaissant pas ses goûts. Tu sors deux verres et tu replis le tiens de whisky en y ajoutant un glaçon. Comme tu es dans la partie salon, tu n'as pas d'accès à un ordinateur donc la partie de toi au sous-sol se charge de lancer de la musique pour toi. 

Spoiler:


"-Ecoutez, j'ai décidé de jouer franc-jeu avec vous, et ce autant que possible. Je m'appelle Scathach Nebiros, ce qui nous mets à un pieds d'égalité madame Fawkes. Je n'ai aucune envie de faire de vagues ou de m'attirer des problèmes, alors soyez sûre que votre secret sera bien gardé car je n'aurais aucun intérêt à le divulguer. Mais pour nous garder sur un pied d'égalité, je vais vous dévoiler un des miens. La personne que vous étiez en train de déguster s’appelait Mike Holson et était un marqué de cette partie de la ville. J'étais censé l'examiner et... Mener quelques tests sur sa personne pour essayer de lui rendre ses pouvoirs, ou du moins lui ajouter un atout, un petit cadeau expérimental pour pallier son manque."


Tu vides ton verre d'un trait pour laisser du temps à ce que tu viens de dire pour être totalement appréhendé. Elle en savait plus que nulle autre personne sur toi à présent, à part ton père bien entendu. Tu lui a révélé ta vraie identité, tu lui a laissé entrevoir un pan de tes actions. en tant qu'hôte, tu ne penses pas pouvoir faire mieux pour alimenter la conversation. A part une petite chose.
"-Et j'espère que vous accepterez une invitation à dîner, car le repas est en train d'être fait par mes soins. Bien évidement, ne connaissant pas vos goûts, j'ai pris le choix de nous servir quelque chose que vous allez à coup sûr apprécier, de la viande humaine."


Ca y est, tu as sorti le grand jeu, entretenant le mystère en parlant de choses impossibles à première vue sous le couvert de la vérité. Mais c'est bien vrai, tu es en train de préparer le dîner de tes propres mains. Au sous-sol, les restes de feu Mike Holson sont dans la chambre froide, et tu as finit tes recherches sur Cassidy Fawkes, ne trouvant que peu de choses, les informations laissées publiques. Pas de données croustillantes. Tu t'allonge sur une table d'opération, et d'un autre côté tu te saisi d'une seringue remplie d'une dose létale de poison. Celui-ci coula vite dans tes veines, te tuant instantanément alors que tu attrape la scie à os et commence à trancher une de tes jambes. Ce sera le repas du soir, que tu finis de mettre en forme en coupant le pied. Pas question de manger un rein ou du foie, pour des raisons sanitaires, car tu ne connais pas l'autre pouvoir de ton invité, tu te soucies de sa santé, comme un hôte modèle. Le cerveau aurait été un bon choix, mais trop concentré en prions, tu te soucies encore de la santé de la personne qui vit en ce moment sous le même toit que le tien. Alors une jambe reste la partie la plus saine et la plus simple à cuisiner. Tu finis de découper ton corps en morceaux et le mets dans des emballages sous vides que tu place minutieusement dans la chambre froide, avec étiquette. D'ici peu, tu montera à l'étage pour cuisiner ta jambe et la manger. 
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MessageSujet: Re: feeding time ; Scathach Nebiros feeding time ; Scathach Nebiros EmptyMar 7 Juil - 15:46

» ft. Scathach Nebiros

Es-tu si irrésistible, Cassidy ? Tu es ce fruit de la tentation qui n'hésite pas à narguer les prédateurs qui te tournent autour. Tu es comme ça, fière de ce que tu es, tu arbores ton visage impénétrable comme si rien ne pouvait t'atteindre. Tu es attirée par cette invitation, et tu devines facilement que tu trouveras ici de la nourriture. Et c'est tout ce qui te préoccupe, pour l'instant. Tu as beau lire dans chacun des gestes de ton hôte ce désir qui le ronge, tu n'en as que faire. Si tu es un objet à ses yeux qu'il envie, alors tu feras de lui le tien. C'est simple. Tu t'empares, tu jettes, tu balances ça aux oublis aussi facilement que tu te débarrasserais d'un vieux mouchoir.
Tu es reine, tu te proclames souveraine, et si user de tes charmes est la clé de délices fruités, tu n'as aucune réticence à les utiliser. Tu es frivole, tu es débauche. Tu te préoccupes peu des conséquences, tout comme tu es prête à tout pour obtenir ce que tu veux. C'est pour ça que tu es entrée, sans regard pour ce qui pourrait t'arriver, sans indice sur le futur. Car pénétrer un lieu inconnu te permet de sortir de ce cercle vicieux de vision de l'avenir. Pendant ne serait-ce qu'un seul instant, tu ne sais pas, tu ne sais rien. Et là tu découvres, comme une gamine, tu aimes te faire surprendre, tu aimes ce qui ne peut être prédit tout comme tu aimes les interdits.

Tu es sourde à ses excuses, tu t'installes juste en attendant. Assise, tu observes ton environnement en silence, laissant tes pensées vagabonder. Tu viens finalement à caresser l'idée de le dévorer. Sur place. Car une faim sourde grogne en toi. Si c'est ce qui doit être fait, tu es prête à te transformer en un monstre de carnage. Mais tu tais tes pulsions, douce enfant, tu n'es pas une bête sauvage, si ? Alors tandis qu'il t'attend, tu t'empares d'une cigarette que tu t'allumes, sans même savoir si fumer ici t'es interdit. Mais les règles existent uniquement pour que tu les brises. Alors tu patientes, la fumée s'échappant de tes lèvres rosent, s'élevant dans les airs en tourbillonnant pour finalement disparaître. Et puis, soudain, il réapparaît devant toi, tandis que ton visage ne démord pas de son expression de désintérêt, ton masque de froideur et d'impassibilité.

_ Ecoutez, j'ai décidé de jouer franc-jeu avec vous, et ce autant que possible. Je m'appelle Scathach Nebiros, ce qui nous mets à un pieds d'égalité madame Fawkes. Je n'ai aucune envie de faire de vagues ou de m'attirer des problèmes, alors soyez sûre que votre secret sera bien gardé car je n'aurais aucun intérêt à le divulguer. Mais pour nous garder sur un pied d'égalité, je vais vous dévoiler un des miens. La personne que vous étiez en train de déguster s’appelait Mike Holson et était un marqué de cette partie de la ville. J'étais censé l'examiner et... Mener quelques tests sur sa personne pour essayer de lui rendre ses pouvoirs, ou du moins lui ajouter un atout, un petit cadeau expérimental pour pallier son manque.

Un petit cadeau expérimental ? De quoi laisser place à l'imagination. Mais finalement tu penses à ce que ce Scathach peut bien faire, son métier, et comment il met ainsi tout cela en place. Tu as presque oublié la partie où tu as dévoré un de ses sujets. Ce n'est pas ton problème, d'ailleurs tu ne vas probablement pas t'excuser. Ce n'est pas ta fierté, c'est juste que tu en as rien à carrer. Tout comme tu ne te préoccupes même pas qu'il connaisse ton nom. Et pour ton secret, tu ris sous cape car quand bien même il l'aurait divulgé, cela ne t'aurait même pas fait sourciller. Il en faut plus pour t'atteindre, et tu le sais. Tu t'es crée, tu as fabriqué cette Cassidy intouchable que rien ni personne ne peut effondrer ni atteindre.
Tu lis dans ses yeux qu'il t'en a dit beaucoup. Ca semble être beaucoup pour une telle personne. Tu es cependant habituée aux secrets. Et rien de ce qu'il peut te dire ne saurait te choquer tout de même, alors tu t'es contentée d'un petit hochement de tête anodin. Au fond, tu te demandes bien quel peut être son dessein, ou ses motivations, mais finalement tu balayes tes pensées d'un revers. Tu t'en fiches pas mal. Tu as une bonne mémoire, mais tu n'y penseras certainement plus dans une heure. Alors il fallait considérer ça comme presque oublié.

_ Et j'espère que vous accepterez une invitation à dîner, car le repas est en train d'être fait par mes soins. Bien évidement, ne connaissant pas vos goûts, j'ai pris le choix de nous servir quelque chose que vous allez à coup sûr apprécier, de la viande humaine.

Ton intuition finalement, s'avère être juste. Et tu saliverais presque à l'idée de ce repas. Tu ne relèves même pas ce qu'il dit lorsqu'il parle d'être en train de s'occuper du repas en ce moment-même. Tu l'as vu de tes yeux, ses crocs. Tu te doutes qu'il possède sans doute un pouvoir. Ca ne te préoccupe même pas de le savoir, même si tu sembles être coincée ici. Tu es confiante, tu sais que tu peux te débrouiller seule si jamais. Et finalement, ce type t'apparais plutôt de bonne intention. Pour un humain, c'est-à-dire quelqu'un de mauvais.

_ Merci pour l'invitation, finit-elle par glisser. Scath, c'est ça ? J'accepte avec plaisir.

Son nom te semble long, ou pas, tu as juste la mauvaise habitude de donner des surnoms aux gens, sans raison. Tu préfères les diminutifs, ça te donne presque un lien avec l'individu. Ca rapproche, ça rassure pour certains, et finalement c'est la meilleur façon pour essayer de s'entendre bien avec une personne, non ? A moins de trouver un surnom complètement con. Et dans ce domaine, là aussi, tu excelles.

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